Le potentiel hydroélectrique résiduel susceptible d’être mobilisé en 2015 sur les cours d’eau de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur a été évalué en fonction des enjeux environnementaux. Il s’agit d’une mise à jour de l’étude du CETE Méditerranée de 2010 qui tient compte notamment de l’évolution du classement des cours d’eau liste 1 et liste 2 qui ont fait l’objet d’arrêtés le 19 juillet 2013 par le préfet coordonnateur du bassin Rhône Méditerranée.
Il a ainsi été mis en évidence que 69 % des puissances résiduelles des cours d'eau au débit supérieur à 200 L/s en région PACA sont non mobilisables (hors projet d'intérêt général). Les 31 % restants, soit une puissance totale résiduelle évaluée à 480 MW, permettent d'envisager des marges pour atteindre les objectifs fixés dans le SRCAE.